Un psychologue divise la psychologie en plusieurs groupes
Le psychologue divise la psychologie en plusieurs groupes. Parmi eux, il y a la psychologie du développement, la psychologie cognitive, la psychologie humaniste et la psychologie positive. Voici quelques points à considérer.
Psychologie humaniste
Au milieu du XXe siècle, un nouveau mouvement de psychologie a émergé. Ce mouvement s’appuyait sur une approche phénoménologique. Il a souligné l’importance de vivre une vie pleine et pleine de sens. L’accent mis sur l’expérience humaine a contribué à un certain nombre de tendances positives en psychologie. Le mouvement a également cherché à comprendre la complexité de l’expérience humaine.
Le mouvement a été fondé en 1963 lorsqu’un groupe de professionnels apparentés s’est réuni à Philadelphie pour discuter du développement d’une organisation professionnelle. Le groupe a été nommé l’Association de psychologie humaniste. Il était basé sur la conviction que les êtres humains sont uniques et que leur unicité est un aspect précieux de la vie.
La psychologie humaniste promeut une vision holistique de l’individu, en se concentrant sur le développement de la réalisation de soi et de l’amélioration de soi. Il met également l’accent sur le développement d’un changement positif. Les personnes qui fonctionnent de manière optimale sont orientées vers un objectif, interdépendantes et libres de faire des choix en fonction de leurs valeurs.
La psychologie humaniste favorise également un sentiment de liberté personnelle. Il met l’accent sur l’importance de l’affirmation de soi et du développement personnel, ainsi que sur un environnement positif d’entraide. Il vise à comprendre le comportement humain en utilisant des méthodes de recherche qualitatives. Les psychologues humanistes promeuvent également l’importance de soi dans la société.
Les psychologues humanistes favorisent également un environnement d’empathie. Ils croient que les gens sont bons et que les écarts par rapport à leur tendance naturelle peuvent résulter d’expériences psychologiques négatives. Il souligne également l’importance de la santé, de la réalisation de soi et de la créativité.
La division de l’American Psychological Association (APA) a été créée pour promouvoir l’application des théories humanistes à la psychologie scientifique. Cette division publie également une revue, The Humanistic Psychologist. En outre, il publie un bulletin d’information qui fournit des mises à jour sur la recherche et les nouvelles des groupes d’intérêts spéciaux.
Psychologie positive
Qu’elle soit positive ou négative, la psychologie est une discipline qui se concentre sur la compréhension du comportement humain et comment il affecte le monde qui nous entoure. Les études en psychologie positive cherchent à comprendre comment les émotions positives des gens peuvent favoriser le bien-être individuel et social.
Le domaine a été défini par plusieurs principes, notamment les vertus esthétiques et civiques de l’amour, de l’espoir, de l’optimisme, du pardon, du leadership et de la persévérance. La psychologie positive a également joué un rôle important dans le développement d’une science de la maladie mentale.
La psychologie positive n’est pas toujours prescriptive. Une humeur positive peut favoriser la productivité et résoudre une grande variété de tâches. Cependant, le véritable test de la psychologie positive est la mesure dans laquelle elle peut éclairer le développement d’interventions visant à promouvoir le positif.
Malgré son importance, le sujet des sentiments positifs est souvent traité avec le même pinceau. En fait, une étude approfondie des émotions positives est une entreprise importante qui nécessite un recentrage de l’énergie scientifique. Un réseau de chercheurs de premier plan dans le domaine est nécessaire pour soutenir l’étude et promouvoir la collaboration.
Un réseau de chercheurs en psychologie positive apporterait également le meilleur de la jeune génération. En plus d’amorcer la recherche collaborative sur des projets méritoires, le réseau formerait des boursiers postdoctoraux et fournirait un soutien à l’infrastructure. De plus, des réunions et des conférences seraient organisées pour encourager la collaboration. Chaque membre du réseau devrait s’engager dans des recherches financées par des sources externes, produire un article majeur et trouver un collaborateur au sein du réseau.
La liste énumérée des caractéristiques associées à une vie positive comprendrait : l’amour, le plaisir, le bonheur, la productivité, l’équilibre travail/vie personnelle et la famille. Plusieurs enquêtes ont montré que l’engagement religieux est en corrélation avec le bonheur personnel.
Contrairement à d’autres formes de sciences sociales, la psychologie ne se limite pas à mesurer les effets du comportement individuel. Il peut également documenter les meilleurs environnements et politiques familiaux, ainsi que démontrer comment les actions mènent à une communauté florissante.
La psychologie du développement
Au cours du siècle dernier, la psychologie du développement a été un domaine d’intérêt. Diverses théories ont contribué au développement du domaine. Beaucoup de ces théories remontent à des sources philosophiques anciennes. D’autres relèvent d’influences plus récentes. Cependant, aucune théorie de la psychologie du développement n’a atteint la prééminence.
Le développement du comportement humain est un processus d’une complexité fascinante. Les psychologues du développement cherchent à expliquer comment ce processus se produit, y compris en quoi il diffère d’un individu à l’autre et comment il peut être utilisé pour guider le développement humain. Cela peut impliquer d’étudier la relation entre la cognition et le comportement social.
La recherche en psychologie du développement a une riche histoire. Le domaine a commencé à se développer à la fin du XXe siècle. Au cours des années 1940, la Seconde Guerre mondiale perturbe les programmes de recherche. Cependant, l’intérêt pour la psychologie du développement a refait surface au milieu des années 1950. C’est maintenant un domaine actif, avec plusieurs revues théoriques publiées régulièrement depuis de nombreuses années.
Les psychologues du développement se concentrent sur trois grands domaines d’étude. Le premier concerne les nourrissons. La seconde concerne les enfants et les adolescents. Le troisième concerne la durée de vie. La psychologie du développement se concentre sur les changements de comportement, y compris les changements de comportement physique, cognitif, social, émotionnel et développemental.
Il existe de nombreuses positions théoriques en psychologie générale qui sont directement pertinentes pour les enquêtes sur le développement. Certains de ces postes incluent la modélisation mathématique, qui peut expliquer une variété de phénomènes. De plus, bon nombre de ces théories partagent un ensemble commun d’hypothèses.
L’une des caractéristiques les plus intéressantes de la psychologie du développement est sa diversité. Cela est évident par les nombreux systèmes théoriques qui sont représentés dans le domaine. Certains de ces systèmes sont mutuellement exclusifs. D’autres se concentrent sur un seul groupe de phénomènes. Certains de ces clusters partagent des hypothèses communes et convergent sur le même thème commun.
Psychologie cognitive
En utilisant une approche informatique, les psychologues cognitifs étudient comment les gens perçoivent, acquièrent et communiquent les connaissances. La recherche en psychologie cognitive a influencé un certain nombre de domaines des sciences cognitives et de l’informatique, notamment l’intelligence artificielle, les neurosciences et la biologie.
Le domaine a été fondé par Wilhelm Wundt à la fin des années 1800. Wundt a été un pionnier de la science de l’esprit et a créé un laboratoire pour étudier la cognition humaine. L’objectif de Wundt était de construire un « tableau périodique » de toutes les expériences.
La psychologie cognitive est hautement interdisciplinaire et entretient des relations étroites avec d’autres disciplines universitaires. Il est influencé par l’informatique, la physique, la biologie, la philosophie et la psychologie.
La recherche en psychologie cognitive a fait de nombreuses percées dans la cognition humaine. Ceux-ci incluent la perception, la mémoire, la compréhension du langage et la résolution de problèmes. Les psychologues cognitifs ont étudié les propriétés des systèmes perceptifs, notamment l’attention, la mémoire et la résolution de problèmes. Le domaine a également contribué au développement d’applications informatiques, telles que des robots intelligents mobiles, des interfaces informatiques collaboratives et une infrastructure d’information flexible.
Contrairement au comportementalisme, la psychologie cognitive étudie les processus mentaux internes. Franciscus Donders, par exemple, a reconnu que les réponses mentales pouvaient être déduites du comportement.
La recherche en psychologie cognitive a également fait des percées dans des domaines tels que la prise de décision, la compréhension du langage et la résolution de problèmes. Ces progrès n’auraient peut-être pas été possibles sans le changement des écoles de pensée dominantes.
Les psychologues cognitifs ont également développé des algorithmes et des principes pour aider à analyser et à expliquer le comportement humain. La recherche en psychologie cognitive a également eu d’importants croisements avec d’autres disciplines, notamment la psychologie sociale et le changement d’attitude.
Ces dernières années, le domaine a élargi son champ d’action pour inclure les éléments biologiques des processus mentaux. Le domaine a développé de nouvelles techniques pour les neurosciences, telles que l’imagerie cérébrale, et a accru son intérêt pour la nature biologique de la cognition. En plus des modèles informatiques, les psychologues cognitifs ont également développé des modèles mathématiques formels de la cognition humaine.
La hiérarchie des besoins humains de Maslow
Au cours de sa vie, le psychologue Abraham Maslow a pu développer une théorie efficace de la motivation appelée la hiérarchie des besoins humains de Maslow. Cette théorie propose que le comportement humain est guidé par cinq systèmes de motivation. La théorie est considérée comme l’une des premières théories de la motivation.
La hiérarchie des besoins humains de Maslow se compose de cinq catégories : physiologiques, sociaux, de sécurité, d’estime de soi et de réalisation de soi. La hiérarchie représente une priorité cognitive et développementale. C’est une théorie simple mais intuitive du comportement humain.
La hiérarchie des besoins peut servir d’outil d’autoréflexion, d’outil d’encadrement et d’outil d’orientation. On le voit souvent dans les programmes d’affaires et de leadership.
La théorie de Maslow suggère que certains besoins motivationnels priment sur d’autres. Par exemple, une personne qui a du mal à se loger peut prioriser ses besoins de base avant de passer à des besoins plus élevés. La hiérarchie suppose que les priorités des individus changent à mesure qu’ils mûrissent.
Maslow a divisé le niveau suivant de la hiérarchie en deux catégories : « besoins sociaux » et « objectifs de reproduction ». Maslow croyait que les besoins d’une personne sexuellement motivée devraient être traités différemment des besoins de survie de base. Cependant, il a reconnu que le désir sexuel était probablement une motivation liée à d’autres motifs sociaux.
Maslow
La hiérarchie des besoins est une théorie populaire et intuitive de la motivation humaine. Il est utilisé pour évaluer les motivations et déterminer les objectifs de carrière. C’est aussi un outil apprécié de développement personnel.
La hiérarchie des besoins humains de Maslow n’est pas applicable à toutes les cultures. Certaines cultures, comme la Chine, s’organisent en collectifs. Par conséquent, la hiérarchie des besoins peut ne pas s’appliquer aux individus de ces cultures.
La hiérarchie de Maslow est largement acceptée comme un outil utile pour le développement personnel et l’autoréflexion. Cependant, il a été contesté et critiqué dans le monde académique.